03 Iles Gili-Bali 4 au 15 mai
Un repos bien mérité nous attend pendant quelques jours à Senggigi sur l’île de Lombok. Nous retrouvons notre Mama Bella’s retreat, petit coin paisible fait de bungalows entourant une piscine. Les plages de Senggigi sont disparates, tantôt de sable blanc, plus couramment de sable noir mais toujours avec des abords jonchés de détritus, ce qui malheureusement nous semble commun à toute l’Indonésie.
Après deux jours, nous sommes rejoints par Xavier et Audrey, nos neveux récemment unis. Nous continuons notre retraite, partagés entre plages désertes, warungs et autres restaurants.
Arrive notre départ pour Gili Air, à seulement quelques minutes de bateau de Lombok. Nous logerons au Bamboo Cottages, un bel établissement tout récent, au bord de la plage aux tortues, qui plus est tenu par un couple de Français. Le vrai plus, la mer cristalline et nous avons croisé des tortues !
Le tour de l’île ne prend qu’une heure et demi……à pied car aucun engin à moteur n’est toléré sur les îles Gili, seules des charrettes tirées par des chevaux faméliques transportent les rares touristes en cette basse saison. Nous testerons en famille divers restaurants, le bistro, pas terrible ; le Beach club, avec un déjeuner sur la plage convenable. Seul le Chil Out trouveras grâce à nos yeux. Les plages sur Gili Air sont inexistantes et il est bien difficile de se baigner sans chaussures à cause des coraux.
Nous changeons d’îles et partons pour Gili Trawangan en speedboat. Ce dernier nous pose sur une plage déserte au nord de l’île mais nous nous trompons de route et parcourons durant quelques ¾ d’heure, avec nos bagages, les chemins sablonneux de l’île pour arriver enfin à l’hôtel Belukar. Ce dernier n’est pas très accueillant aux premiers abords mais la découverte des chambres, de leur agencement ne nous fait pas regretter notre choix. Cette île, à la réputation festive est d’un calme plat en cette basse saison, nulle trace des hordes d’Aussies alcoolisés.
Nous emprunterons des vélos pour un tour de l’île. Cette dernière a des plages plus accessibles mais nous retrouverons une nouvelle fois des détritus mais surtout un nombre très important d’algues couvrant l’eau et empêchant la baignade.
Quelques apéro-paté, des pizzas délicieuses et géantes au Régina, un bon diner seafood mais aussi quelques restaurants touristiques pas top voir mauvais et il est déjà l’heure de rejoindre Bali. La mer très agitée rendra la traversée de deux heures très pénible.
Nous avons loué une très belle villa pouvant largement loger notre famille de huit sur la plage de Jimbaran au sud de Bali, près de l’aéroport. Nous profitons de la plage déserte, de ses belles vagues mais aussi du marché au poisson tout proche pour le ravitaillement.
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